Émotions et bien-êtrePHÉNOMÈNES psychologiques

Pour être heureux, vous n’avez besoin que de 4 choses!

Bien sûr, le bonheur est relatif à chaque personne et chacun se sent différent.

Alex Korb est neurologue et écrivain. Il est l’auteur du livre « La spirale ascendante: comment utiliser la neurologie pour inverser la dépression ». Ce livre est devenu le best-seller d’Amazon, une semaine seulement après son lancement.

Pour être heureux, prenez en compte les leçons du neurologue Alex Corb.

  • Une des questions les plus importantes:

Lorsque vous traversez une période plus difficile, posez-vous la question suivante: « Pourquoi puis-je remercier le Dieu? »

Ne vous précipitez pas pour tirer des conclusions hâtives. Le Dc Korb affirme que le sentiment de contentement a un impact biologique sur le cerveau et l’explication est simple. Savez-vous comment fonctionne l’antidépresseur bupropion? Il stimule la sécrétion de dopamine ainsi qu’un sentiment de contentement. Mais fluoxétine, savez-vous comment cela fonctionne? Stimule la sérotonine, ainsi qu’un sentiment de contentement.

N’oubliez pas ce que vous avez ressenti la dernière fois où vous avez été satisfait de quelque chose que vous avez bien fait. C’était bon, n’est-ce pas? Le neurologue affirme que lorsque vous remerciez Dieu, vous vous concentrez sur le côté positif de votre vie, qui augmente les niveaux de sérotonine.

Donc, première chose serai d’être content de notre existence et de belles choses qu’on accompli chaque jour.

  • Exprimez vos sentiments négatifs.

Lorsque vous ne vous sentez pas bien, essayez de définir votre condition. Y a-t-il des chagrins, des ennuis ou des soucis? Ce n’est pas une blague et cet exercice vous aidera à vous sentir mieux.

Vous pouvez le faire maintenant s’il y a des pensées qui vous brouillent.

Dans l’une des expériences, on a montré aux participants des images de personnes ayant différentes expressions faciales et leurs réactions cérébrales ont été enregistrées. Comme prévu, les amygdales répondaient aux émotions représentées.

Lorsque les participants ont été invités à exprimer ces émotions, le cortex cérébral préfrontal ventrolatéral a été activé et l’activité des amygdales a diminué. En d’autres termes, l’expression des émotions réduit leur impact sur l’homme.

La deuxième chose, serai de ne jamais avoir peur de parler de son négatif. Il faut laisser « la bête » partir de notre cœur et notre cerveau.

  • Prenez une décision!

Vous est-il déjà arrivé de vous sentir plus détendu après avoir pris une décision? Rien n’est accidentel. Le neurologue affirme que lorsque vous prenez une décision, en plus de résoudre les problèmes, vous réduisez l’anxiété.

Lorsque nous prenons une décision, nous développons des intentions et fixons des objectifs. Tous ces facteurs ont un impact positif sur le cortex préfrontal, réduisant ainsi l’intensité du trouble. De plus, la prise de décision aide à réduire l’activité du striatum, ce qui provoque dans la plupart des cas des impulsions et des actions négatives.

La troisième chose serai, donc, de ne pas laisser les problèmes nous envahir. Respirez et prenez une décision tout de suite pour harmoniser l’état d’esprit. Il n’y a jamais de mauvaises décisions, il y a seulement de mauvaises actions. Agissez en confiance pour votre bonheur.

  • Entrez en contact avec d’autres personnes.

Dans l’une des recherches, les participants jouaient à un jeu d’ordinateur avec un ballon. L’un des joueurs a lancé le ballon, l’autre l’a retourné. Mais en réalité, un seul d’entre eux était une personne et le second joueur était… l’ordinateur.

Les participants ont été informés que l’écran est dirigé par un autre homme. Que pensez-vous qu’il se passe lorsque votre collègue refuse de tourner la balle?

Le cerveau du joueur a eu une réaction similaire à celle de la douleur. En d’autres termes, notre cerveau perçoit le rejet d’un autre homme de la même manière que nous avons une main fracturée, par exemple.

L’exclusion sociale active le cortex frontal et le centre de la douleur, tout comme la douleur physique.

Ainsi, la quatrième chose serai de parler aux autres, de ne pas laisser un vide entre vous et les autres; ne faites pas de barrières. Parlez de vos problèmes, de vos douleurs, de vos ennuis. N’ayez pas peur de paraître faible en face de quelqu’un. Vous ne l’êtes pas, vous le savez et c’est ça que compte pour votre bonheur.

En conclusion, les relations avec ceux qui nous entourent sont très importantes pour le cerveau. Voulez-vous vous sentir mieux et être heureux? Rapprochez-vous de vos amis, parents et collègues, ainsi que de vos proches, donnez-vous des câlins plus souvent.