INFO SANTÉ

Le côté positif du coronavirus

Ce n’est pas surprenant  qu’il y a des gens qui meurent chaque heure, chaque minute sur la planète à cause d’une maladie ou d’un malaise. C’est encore moins surprenant quand on apprend que beaucoup de ces décès sont causés par nous-même. Des cancers, des anomalies fœtales, des déséquilibres hormonaux, des maladies qui ne finissent jamais s’installent dans nos chemins par erreur humaine.

Tout le confort que nous créons pour une vie meilleure, se retourne contre nous à un certain moment de notre vie. Nous avons choisi à la base d’avoir le luxe qui finit par nous faire plus du mal que du bien. Les voitures personnelles, tous les moyennes de transport terrestres et aériennes sont là pour nous aider à dépenser plus rapidement notre vie.

Voici quelques points positifs de l’effet Coronavirus sur la Terre :

  1. Réduction considérable de polluants atmosphériques

Sommes-nous responsables de la pollution de notre Planète?

La pandémie de coronavirus a considérablement réduit la pollution dans le monde.

Les concentrations de polluants atmosphériques, en particulier les concentrations de CO2, ont fortement chuté ces derniers jours, en raison des mesures d’urgence et de quarantaine imposées par la pandémie de coronavirus dans les grandes villes mondiales. Ceux-ci ont entraîné une réduction substantielle du trafic routier, en contribuant à l’environnement aussi.

Les données de l’Agence européenne pour l’environnement (AEE) sont fournies par environ 3 000 stations de surveillance à travers le continent européen et les mesures sont effectuées toutes les heures. Dans certaines régions, la pollution de l’air a même été divisée par deux.

Selon l’AEE, ces dernières semaines, les concentrations de dioxyde d’azote, l’un des polluants émis par les véhicules et qui affectent gravement la santé humaine, ont enregistré des baisses importantes dans plusieurs villes européennes.

Ainsi, à Milan, la concentration moyenne de CO2 au cours du dernier mois était de 24% inférieure à celle il y a deux mois. De plus, par rapport à la même période l’an dernier, la concentration était inférieure de 21%.

À Bergame, l’une des villes les plus touchées par la pandémie, la concentration était inférieure de 47% par rapport à la même période de 2019.

À Barcelone, les niveaux de CO2 ont chuté de 40% par rapport au mois dernier et de 55% par rapport à la même période l’an dernier.

À Madrid, il y a eu une baisse de 56% des polluants atmosphériques, d’une semaine à l’autre, tandis qu’à Lisbonne, la baisse pour la même période était de 40%.

De plus, les dernières images publiées par l’Agence spatiale européenne montrent combien les émissions ont chuté en Chine, après que le coronavirus a provoqué la fermeture de l’industrie dans ce pays.

  1. Des conditions sanitaires améliorés

Le nouveau coronavirus nous fait pencher la balance vers une meilleure hygiène. Grâce aux messages gouvernementaux, les gens se lavent plus souvent les mains par précautions d’infection. À force de le faire chaque jour, ce geste deviendra une habitude.

Les métros, les trains, les aéroports, tout les lieux publics seront équipés davantage de stations désinfectantes.

Actuellement, il y a une discussion autour du code vestimentaire du personnel médical. Les professionnels de la santé arrivent au travail déjà dans leur dress-code. Et, s’ils arrivent par voie publique (train, métro, autobus), il y a un doute en ce qui concerne la non-propagation de virus aux patients vulnérables. Les hôpitaux souvent n’ont pas des vestiaires, les soignants médicaux sont obligés de changer ses habilles dans une salle d’opération, dans une salle de repos ou dans une chambre de patient. Et, cela pose des questions tant qu’à l’hygiène hospitalière.

  1. Plan d’urgence contre une épidémie

Les États sont en discussion favorable pour un plan d’urgence mondiale lors d’une éventuelle pandémie. La collaboration des États contribuera à une « dépistage » précoce des intrus planétaires. L’agissement immédiat, fera en sorte qu’il n’aura pas de propagation majeure dans la population. Les cas vulnérables seront isolés pendant le passage de la vague épidémique. Ainsi, le nombre de décès sera considérablement diminué.

  1. Vers la télémédecine

Il n’est pas question d’une intelligence artificielle intégrale, mais plutôt d’une partielle. Les médecins seront davantage équipés pour poser des diagnostics à distance.

La télémédecine est le plus simple et rapide moyen d’avoir des services médicaux de qualité. Cette méthode, permet de réduire les coûts, annule de distances et la propagation des virus. Grâce à ceux-ci, les urgences seront dégorgées et les cas les plus graves seront prises en charge plus rapidement.

  1. Priorité au télétravail

Pour garder en santé ses employés, beaucoup  d’entreprises ferons de plus en plus d’efforts pour se tourner vers le télétravail. Comme c’est le cas, d’ailleurs, au Canada pendant ce temps de crise virale. Il y a énormément d’entreprises qui ont trouvé vite une solution à ses milliers d’employés qui font du télétravail guidé.

Ce genre d’activité, aura un impact positif sur la planète, car plus des gens travaillent de la maison, moins de trafic se crée dans les villes, et par conséquent, moins de pollution atmosphérique s’installera sur notre Terre.